25 avr. 2009

L'économie hydrogène. Après la fin du pétrole, la nouvelle révolution économique Jeremy RIFKIN


A la suite d'une conversation à la Fnac avec des gens très sympathiques il m'est paru utile de rappelle l'existence d'un livre présentant les enjeux qui nous attendent. je l'avais lu il y a plusieurs années et malheureusement il est pour le moment dans le vrai.

Quatrième de couverture.

Alors que nous pensions, il y a peu, pouvoir bénéficier encore de quarante années et plus de réserves de pétrole brut, les géologues les plus éminents prévoient que la production pétrolière mondiale pourrait connaître un fort déclin dès la fin de la décennie. L’essentiel des réserves d’or noir réside désormais au Moyen-Orient, une région dont l’instabilité géopolitique fait peser une menace sur l’accès au précieux combustible. La tentation est grande, pour les pays industrialisés, de se tourner vers les énergies les plus polluantes — charbon, huiles lourdes —, susceptibles d’aggraver le réchauffement de la planète. Dans cet ouvrage visionnaire, Jeremy Rifkin explique qu’il existe une alternative, une ressource énergétique inépuisable et « propre » : l’hydrogène, utilisé dans les piles à combustible déjà introduites sur le marché américain pour les usages domestiques et industriels. Les grands constructeurs automobiles dépensent des milliards de dollars pour le développement de voitures, bus et camions à hydrogène. L’ère du pétrole touche à sa fin, affirme Jeremy Rifkin, ouvrant la voie d’une extraordinaire révolution économique. Un nouveau régime énergétique apparaît, susceptible de reconstruire la civilisation sur d'autres fondements. Si cette nouvelle technologie n’est pas abandonnée aux grands fournisseurs d’électricité, les piles à combustible permettront à chaque être humain de produire et même d’échanger sa propre électricité. L’ensemble de nos institutions économiques, politiques et sociales, ainsi que nos modes de vie s’en trouveraient transformés.

épuisé à la Fnac disponible sur Amazon

14 sept. 2008

L’éthanol plus taxé que le gazole, l’essence et le GPL


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Prix des carburants et sécurité .

Une analyse par des l'un des meilleurs spécialistes français de la sécurité routière

Dans la construction de modèles empiriques de sécurité routière, fondés sur l'observation des faits, l'accroissement du prix du pétrole, comme les réductions du pouvoir d'achat et l'inquiétude des consommateurs dans une période de crise, voire de récession économique, sont des facteurs favorables à la sécurité routière. Le pessimisme des consommateurs n'incite pas à avoir des comportements susceptibles d'accroître les dépenses, à l'opposé ils réduiront les kilométrages parcourus et leur vitesse de circulation. Des spécialistes des marchés pétroliers nous affirment que les jeux financiers misant sur la poursuite de la hausse peuvent être brutalement interrompus par une adaptation associant la réduction de la consommation (du fait des prix actuels et d'un début de récession) et un accroissement même minime de la production. D'autres (plus nombreux) envisagent un pétrole cheminant inexorablement vers 200 $ le baril dans des délais relativement courts, accélérant la révolution des comportements, la poursuite de la réduction des vitesses de circulation et des kilométrages parcourus.

Le niveau de départ pour l'action sur l'insécurité routière du gouvernement actuel est de 4 788 tués pendant les 12 mois qui ont précédé mai 2007 (valeur avec la méthode actuelle prenant en compte les décès survenant au cours des trente jours qui suivent l'accident). La valeur observée fin juillet 2008 (avec la légère erreur qui peut être provoquée par la prise en compte de valeurs provisoires) est de 4 338 tués au cours des douze mois précédents. Depuis mai 2007, la réduction du nombre de tués est de 450, soit 9.4 %.

Il faut remarquer les différences d'évolution des trois indicateurs publiés par l'ONISR. La mortalité subit des variations importantes avec des mois favorables qui peuvent être suivis d'un mois qui l'est moins. La réduction du nombre de blessés hospitalisés semble plus élevée que celle des blessés légers. Il faudra connaître l'évolution récente des consommations d'essence et de gazole, des vitesses moyennes mesurées par l'Observatoire des vitesses, et des kilomètres parcourus, pour avoir une explication de l'évolution constatée, qui demeure dans l'ensemble favorable. Nous sommes actuellement incapables d'attribuer des parts respectives dans cette évolution à la simple poursuite des effets de la politique initiée en décembre 2002 et à la modification des comportements produits par les difficultés économiques et l'accroissement du prix des carburants (la suite)

6 juil. 2008

A9 Les camions pesés en roulant

Chauffeurs routiers, méfiez-vous ! La drôle de boîte installée depuis peu sur l'autoroute A9, peu avant l'aire de Vergèze dans le sens Nîmes-Montpellier est pour vous. Il s'agit d'un système de pesage dynamique des poids lourds capable, grâce à des boucles magnétiques sous la chaussée, de mesurer le poids du chargement et la vitesse du camion. Ce dispositif, voulu par le ministère de l'Ecologie, via le secrétariat d'Etat aux Transports, pour lutter contre la concurrence déloyale, est en service, mais pas de manière continue. Il est activé à la demande de la Direction régionale de l'Équipement. Ce système peut être couplé à des contrôles à la barrière de péage où gendarmes et douanes pourront confirmer - et donc verbaliser - les informations enregistrées par le boîtier de surveillance.

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4 mai 2008

La Suède deuxième investisseur et deuxième créateur d'emplois étranger en France l'an dernier.Scania se devellope

Scania, a embauché une centaine d'ingénieurs, d'ouvriers et de techniciens dans son usine de camions, à Angers. «La France, c'est une base stratégique pour exporter en Europe du Sud», explique Robert Dubois, son directeur... suédois, malgré un nom qui sent bon le béret et la baguette. La suite...